Début de cohabitation difficile. [Warning]

Le Bronze pu constater qu'il n'avai pas recraché le lait, il pourrait lui dire cela demain. Finaement il s'allongea gardant le sagitaire contre lui danss es bras* je suis la ne t'inquiete pas mon tout petit, dors maintenant tu es épuisé.

Je le berce tendrement, je le rassure et reste auprès de lui. On dit qu'il ne faut jamais reveiller un somnambule et c ce que je fais. Je n'ais pas envis d'être agressé a son reveil trop brutal.

Il se rendormit, collé à Shun. Faisant pour une fois de doux rêve, il bougea très peu mais eu une poussé de fièvre qui se calma le matin. Il se réveilla doucement, ne délirant plus.

Voyant un torse contre lui, il cru un instant que c'était un spectre et le repoussa violemment en criant, ne voulant pas être abusé une nouvelle fois.

le reveil de Shun fut quelque peu brutal vu qu'il se retrouva le cul au sol hors du lit. Il gemissa un momment a cause de la chute et se massa le derière.

"itai ca fait mal ça."

" Aioros, calme toi ce n'est que moi , c'est mamant enfin je veux dire Shun"

Je m'approche doucement de lui pour lui faire comprendre qu'il ne risque rien et caresse ses cheveux aorès avoir touché son front. Je soupir qu'il n'ai rien.

Aioros finit par le reconnaître.

-Je suis pas... en enfer?

Il respirait fortement ayant eu peur que son cauchemar vivant recommence, il ne voulait plus de ça, plus jamais. Mais il ne comprenait pas comment Shun avait fini dans son lit. La dernière chose dont il se souvenait c'était une chanson puis le trou noir.

-Co... comment t'es arrivé là?

Il remarqua qu'il était nu et se mit le drap sur lui.

je me relève difficilement me massant les fesses. Oui ça fait mal de tomber par terre. Je le regarde reprenant ma place sur la chaise près de luis au bod du lit.

" Hé bien tu as fais un cauchemar, j'ai voulu te réconforter en m'approchant un peu, mais comme tu bougeais beaucoup tu ma chopper au même moment me prenant pour ta mère. tu t'es même blotis contre".

Je m'excusais aussitôt d'avoir pris le rôle de sa pauvre mère. Je me mors en cet instant même la joue inferieur tellement j'ai été stupide d'agir de la sorte. Je ui explique aussi la poussée de fièvre qu'il a eu et du pourquoi il délirait.

Je l'écoute me dire que j'ai été malade et que j'ai déliré le prenant même pour ma mère. Je n'ose y croire, mais j'ai souvenir d'avoir cru avoir ma mère à un moment contre lui.

-Merci beaucoup Shun...

Je n'ose pas le regarder, il doit me prendre pour un fou et un môme à réclamer sa mère quand il est malade.

je penche sur lui et l'embrasse sur la tête. Je remarque que ses rejet et frison sur le fait d'être touché se fond de moins en moins sentir je sourris a cette pensée. je souris car je peux constater qu'il ne me repousse finalement pas; Je lui dis même que j'ai pus le nourrire avec du vrai lait cette fois et qu'il na rien recracher; Je n'ai pas de quoi être fier il aurai très bien avalé ça avec n'importe qui après tous. Je lui lève le menton et l'embrasse sur la jour pour le rassurer et lui faire comprendre qu'il na rien a se reprocher. Je le quitte un moment car je dois aller me préparer et me doucher. Je lui dis qu'il peut faire ce qu'il veut en attendant. Il est libre et chez lui, mmême si ce n'est pas tout à fais le cas.

Je m'loigne de lui et me dirige dans mmes cartiers et ma douche. J'y entre sans en fermer la porte. Je me mets a penser a mon cygne me perdant dans le temps de ma douche qui dure très logntemps.

Il se laissa toucher, tremblant moins et fermant les yeux comme pour apprécier le geste. Il ne repoussa pas Shun et une fois seul dans la chambre il alla prendre une douche comme pour retirer toute la sueur dut à la fièvre.

Une fois sous l'eau, il gémit ayant froid malgré que l'eau soit bouillante, il avait été content de savoir qu'il avait pu manger au moins un peu, peut être qu'il n'était pas si perdu que ça au final.

Maintenant que je sais que Aioros peux manger correctement je suis heureus. heureux de savoir que j'ai pu lui être util au moins une fois. J'avais l'impression de donner le biberon à un nourisson. Mais s'il faut en passer par là pour lui faire redécouvrir la nouriture, je ne me gènerai pas de faire ça pour lui. Je m'attache de plus en plus à aioros. Je crois que je suis entrain de le prendre pour mon fils. Je rougis a cet pensée. Encore faut-il qu'il veuille de moi comme speudo père. Je ris de ma stupidité; Je sors enfin de ma douche serviette a la taille et je revasse. Je garde le sourrire au lères et déhanbule dan sles couloirs. Je ne remarques pas un bout de verre qui trainait par là et pose comme un idiot le pied dessus.

La surprise, et la douleur fond que je retrouve étalé au sol, ma nudité dévoilée. Je tente malgrè moi d'enlever le bout de ver seul mais je grogne. Où sont donc passé ses idiots de domestiques quand on en a besoin.

Il sortit de la douche la peau rouge limite à sang à cause de l'eau bouillante, il avait juste une serviette sur les hanches dans il entendit un cri et alla voir qui c'était. Il vit Shun à terre le pied saignant, il s'approcha de lui et utilisa le peu de cosmos qu'il avait pour le soigner.

-Ça va mieux?

Il allait mieu oui et le remercia. A cause de la douleur il n'avait pas penser a utiliser son cosmo. Il fu surpris de voir Aioros le faire, lui qui sentais son cosmo étein il le vit se rallumer toutdoucement. Je lui ted ma main pour qu'il m'aide à me relever. La serviette cachant ma nuditée restée au sol. Lorque je me redresse je m'appuis un peu sur lui pour ne pas retomber. Je l'attrappe par la taille et rougi de constater qu'il a la peau chaude comme la braise. Je d"tourne la tête. Je lui demande s'il veu bien me bander le pied après avoir enlever les petits éclats de verres. Bien que la bouleur est disparue, il reste encore ce qui est nocif coincé dans le pied

Aioros hésita un instant avant de prendre la main du bronze et l'aider à ce relever. Mais il bloqua quand il vit la serviette de Shun glisser et découvrir sa nudité, il commença à haleter, ne sachant pas comment réagir à ça surtout qu'il était lui même en serviette. Il était comme une statut devant la nudité du bronze. Pas qu'il le trouve moche mais il avait peur que tout recommence même s'il savait que Shun ne pouvait rien lui faire. C'était une réaction de protection.

Il sentit à peine le corps du bronze mais il se réveilla quand il lui demanda de lui bander son pied.

-Euh oui, mais euh... remet ta... ta... serviette.

Je rougis de ma stupidité. Décidément je fais n’importe quoi en ce moment. Je remarque que maintenant ce qu’il tente de me dire, puis lorsque je baisse ma tête vers la serviette, je comprends enfin. Mes joues deviennent plus rouges qu’elles ne l’étaient déjà. Je ne sais plus où me mettre. Avant qu’il ne me le demande, je ramasse rapidement le bout de tissus me couvrant par instinct mon corps. On se dirige vers l’extérieur. Il fait superbement beau. La chaleur est à température ambiante. C’est l’idéal comme journée.

Il le suivit mais n'osait plus le regarder, même s'il avait eu son corps contre le sien, il n'avait pas ressentit de chaleur. Le bronze n'était pas désagréable au regard, mais il avait réagit avec peur à son contact.

Une fois dehors, il remarqua qu'il était à nouveau en serviette.

-Je... Je vais aller m'habiller.

Il alla vers sa chambre.

Je me sentais un peu ridicule de la situation dans laquelle nous nous trouvions. Lorsqu'il s'en va, je lui demande de m'apporter au passage de quoi me vêtir. Je reste allongé me perdant dans la contemplation du ciel. Un sourire se forme sur mes lèvres. J'ai l'air d'un abruti en étant de la sorte. Je me redresse, c'est finalementun domestique qui arrive avec de quoi me vêtir. Je le remercie de façon polie et gentille comme à mon habitude. Il a dû entendre ma demande. Ce dernier ne cesse de me demander si je vais bien. Je lui confirme que oui, qu'il ne doit pas s'inquietter.

Une fois dans sa chambre, il mit les vêtements qu'il avait la veille, il n'osait pas toucher à quoique ce soit qui se trouvait dans la chambre même si Shun lui avait dit qu'elle était pour lui. Ce qui c'était passé l'avait un peu perturbé. La dernière personne nu qu'il avait sentit contre lui était Kanon, et il avait eu chaud avec lui, alors que Shun était froid pour lui.

Alors s'il avait eu chaud avec Kanon c'était seulement parce que le bleuté avait eu envie de lui. Il ne voulait pas rester dans ce froid, il avait besoin de chaleur. Et pour cela, il n'aurait pas le choix. Pour en trouver il fallait une personne qui voudrait de lui, qui serait sexuellement attiré par lui et ce n'était pas le cas du verté. Il se leva du lit et passa par le jardin pour partir.

Il en mettait du temps à revenir le sagittaire. La maison n'était pourtant pas si grande pour s'y perdre. Je me lève et décide d'aller le rejoindre. Je mets un peu de temps et arrive au bon moment pour le retenir. Je lui demande s'il ne se plait pas ici pour vouloir partir comme un voleur. Je veux savoir ce qui ne va pas chez lui. Je veux qu'il se sente bien et pas que je m'oblige à l'accepter pas du tout. De nature honnête, je lui dis. Je lui dis clairement si c'est à cause de moi qu'il souhaite partir. Après tout, rien ne le retient ici. Même moi, son ami. Je sais qu'il a envie de retrouver Kanon, j'en suis jaloux presque.

Il entendit Shun derrière lui lui parler et il se retourna.

-Euh Shun non ça na rien à voir avec toi. Tu es très gentil au contraire, et accueillant. Mais j'ai froid, si froid j'ai besoin de chaleur. Je sais je suis pitoyable, mais je ne supporte plus ce froid qui me prend entièrement.

Il n'osa pas le regarder en face, il se trouvait pitoyable d'être si faible face à son propre corps, c'était déjà bien qu'il ai pu retrouver une alimentation quasi normale, mais ce froid il ne pouvait plus, il avait besoin d'avoir chaud. Mais pour ça il devait trouver une personne qui aurait envie de lui, et il doutait que Shun le soit. Il n'était pas assez bien et trop souillé pour cet ange.

Je m'en veux de ne pouvoir l'aider un peu plus. Quand il me parle de chaleur je le prend contre moi pour le bercer tendrement. Je lui caresse les cheveux et le réconforte par de douce paroles. Je lui dis aussi qu'il trouvera la personne pour lui. Il doit juste être passiant sinon il n'aura jamas gain de cause. Je l'embrasse sur la joue en rougissant moi même et fini par lui demander.

" L'autre nuit on a dormi ensemble et tu allais mieux, tu veux recommencer ce soir?"

Quite à me refaire passer pour sa mère cela m'est égal. Il avait été apaisé l'espace d'une nuit et tranquil.

Il l'écoute en étant contre lui, frissonnant un peu à cause de sa peur du contact, mais c'était moins violent qu'au début, on aurait pu croire que c'était à cause du froid qu'il sentait. Il l'écoute lui dire qu'il doit être patient, mais le problème c'est qu'il ne l'a jamais été patient, même durant ses entrainements.

-Je veux pas être une gêne pour toi. Tu fais déjà beaucoup pour moi, je ne mérite pas tout ce que tu fais à mon égard. Je n'ai rien à te donner en retour, mon amitié ne sera jamais assez pour te remercier de tout ça.

Il mit sa tête dans son cou, essayant de retenir ses larmes de malheur. Il finit par se coller au verté pour se lâcher et s'effondre en larme contre son cadet, ne supportant plus tout ça.

Je le serre contre moi lui prettant mon épaule pour pleurer caressant sa douce chevelure. Je le berce. Je ne veux pas qu'il sourffre , je ne le supporterai pas. Je ne cherche rien en retour. Savoir qu'une personne va ne serait-ce qu'un minimum mieux me rempli de joie. Je ne l'interromp pas, au contraire je l'encourage à pleurer. Se retenir ne servirait à rien, de plus nous sommes seul ici. Personne ne peux nous juger. J'aime bien Aioros, je crois que si je n'étais pas avec Hyoga j'aurai tout fais pour le séduire. Je rougis à ma pensée. il ne doit en aucun cas le savoir, lui comme Hyoga.

Je connais mon prince des glaces, si je lui dit ça il vapeter les plombs. De toute façon c'est lui que j'aime et personne d'autre il n'a aucun soussi à se faire.

Je pleure un long moment sur son épaule, je crois que c'est la première fois que je me permet de pleurer enfin sur ce qui m'est arrivé, je ne devrais pas, je suis un chevalier d'or, ça devrait pas m'affecter, je devrais passer outre. Les paroles de Kanon tourne dans ma tête, je ne peux les oublier. Je sais que je suis un boulet dans l'état où je me trouve, je veux redevenir celui que tout le monde pense que je suis. Mais je ne sais pas si j'en suis capable. Pour une fois j'aimerai ne pas être celui sur qui tombe toute les responsabilités. C'est peut être pour ça que je laisse Shun m'approcher, parce que lui au moins ne cherche pas à me forcer à redevenir le mythe du Sagittaire que j'étais avant ma mort.

Au bout d'un moment, les larmes du Sagittaire se tarirent, mais il resta dans les bras du verté, même s'il avait toujours froid, au moins il se sentait protéger avec lui.

-Merci.

Je lève la tête du chevalier qui se trouve entre mes bras à l'aide de mon index sous son menton et le regarde.

Il l'écouta et malgré ses yeux rouges, il eut un sourire de remerciement à l'égard du bronze. Il eut même un petit rire quand il lui dit qu'il pouvait l'appeler maman.

-Non je n'irai pas jusqu'à t'appeler maman. Papa à la rigueur mais pas maman.

Il rigola lui-même de sa bêtise. Il resta quand même dans les bras de Shun et finis même par s'endormir contre lui. Il se sentait si bien contre lui, une douce chaleur comme il en avait besoin, même si ce n'était pas tout à fait celle désirée, le froid le quittait quand même mais pas totalement, même durant son sommeil, il lui arriva d'avoir des frissons de froid intense.

Il se leva le lendemain et voulut faire le petit déjeuner en remerciement de tout ce que lui procurait Andromède. Et puis il avait besoin de faire quelque chose, il n'avait pas l'habitude de resté oisif comme ça. Il s'orienta comme il put dans la demeure et mis un peu de temps avant de trouver tout ce qu'il voulait pour faire un petit déjeuner. Dans la cuisine il trouva des appareils ménager dont il ignorait le fonctionnement, au moment de sa mort ce genre d'appareil n'existait pas encore, et il décida de ne pas les utiliser pour ne pas faire de bêtise.

[hj: désolé du retard pour répondre j'espère que la longueur me fera pardonner ^^]

Ha le voila qu’il sourit enfin. Je suis heureux de le voir ainsi. Il a quand même meilleur mine qu’il y a quelques minutes. A mes risques et périls je l’embrasse sur la joue. Nous restons de longues minutes l’un contre l’autre. Je m’endors à ses côtés. En ce moment je fais un rêve érotique à son sujet. Bien sur je suis présent dans le rêve. Si je me voyais, je me verrai entrain de rougir. Il faut l’avouer Aioros est un très bel homme. Pourquoi lui ais-je raconté que j’étais avec quelqu’un ? Peu être la peur de m’engager et de faire encore souffrir ? Décidément comme avec les femmes, pour les hommes je ne suis toujours pas doué. Il faut dire aussi que j’ai peur de m’attacher à quelqu’ un en particulier. De peur que lors d’une guerre sainte celle-ci se fasse éliminer sous mes yeux comme cela à été le cas à maintes reprises pour mes compagnons. En repesant à ça une larme coule e mes joues. Je lui ai dit en aimer un autre, mais la vérité en est toute autre. Je ne veux plus que par ma sensibilité d’autres personnes se fassent tuées sous mes yeux. C’est horrible de voir un être cher perdre la vie devant nos propres yeux. Nous sommes en paix autant profiter et ne pas penser à de telles choses. De plus en voyant ma larme couler Aioros va se demander ce qu’il m’arrive. Je ne veux pas l’inquiéter. Il a déjà tant souffert. Lorsque je me réveille, je suis allongé dans le grand lit de la chambre à côté de la mienne.. Je regarde autour de moi et constate que je suis seul. Je me demande où a bien pus passer mon invité ; Je me lève enfile mon peignoir et descend enfin au salon baillant sans retenue. Qu’elle chance qu’il soit partit au bon moment. Ainsi il ne m’aura pas vu pleurer.