Début de cohabitation difficile. [Warning]

Je le suis chez lui, et découvre son immense maison. Je monte au second étage comme il me l'a indiqué et va dans la chambre alors qu'il me laisse pour donner ses instructions à ses domestiques. Je ne lui en veux pas, il a des choses à faire et c'est normal. Je visite la chambre sans oser toucher à quoique ce soit. La chambre est très belle et très simple. J'ai pas besoin de beaucoup de chose pour être contenté. Un lit, une armoire et un chevet me sont largement suffisant. Mais même l'armoire est limite de trop vu que je n'ai aucun vêtement à part ceux que je porte actuellement. Il y a un balcon et j'ose aller voir la vue qu'il offre. Je me pose contre le garde corps et regarde le paysage.

Je ne vois pas le temps passer tout le long que je suis sur le balcon et quand Shun m'appelle pour manger, je vais le rejoindre, même si je sais que je ne pourrais rien garder. Je vais essayer quand même pour ne pas l'ennuyer.

Une fois à table, le sagittaire attendit le bronze pour commencer à manger.

J'ai envie de lui annoncer qu'il pourra manger correctement ce soir. Mais je me sentirai si ridicule de le lui annoncer comme cela. Je me mords la lèvre inferieure ne sachant comment me lancer. De plus avec mes joues rouges ça ne doit pas être mieux. Heureusement que je ne me vois pas à ce moment là, j'aurais la honte de ma vie de me trouver si ridicule. A force de vouloir aider tout le monde, cela va me porter préjudice, je le sens bien. Je le regarde et lui annonce enfin que j'ai préparer quelque chose pour lui. Il peut entendre au son de ma voix que ce n'est pas facile pour moi de lui dire cela. j'ai tellement peur qu'il le prenne mal. Je me dirige vers le frigo et sors enfin la petite bouteille au liquide blaanc. Je lui prépare un bol et l elaisse se servir. Il na pas besoin de me demander ce que c'est.

A l'odeur, surtout la texture il va parfaitement savoir. Je tourne la tête pour ne pas voir son regard de dégout poser sur moi pour avoir osé lui servir cela. Je me sens mal maintenant à mon tour. Je n'aurai jamais du faire ca. j vais pour me pencher le rouge au joue et récupérer la bouteille. Je ne veux pas qu'il pense que je suis un salaud. Non jamais je ne cherche qu'à l'aider, même si mes méthodes ne son pas très adroites.

Je peux constater qu'il sait que ce liquide est de moi, je rougi encore plus.Comment est-ce possible. J'ai pourtant fais attention d'être seul quand je me faisais du bien, dans l'une des salles d'eau. Là je panique et commence a stresser à mort. Il va me haïr, quitter de ce pas la maison. Par cette pensée , je vire au blanc. Je ne veux pas de ça, je voulais juste l'aider pas qu'il finisse par me haïr car j'aurais cru ien faire. Je suis sur le point de me justifier sur mon acte, mais il me stoppe. Mais pourquoi? Je tourne de nouveau la tête pour ne pas voir sa marque de degout à mon inssu. Je ne saurais le supporter.

Je le vois revenir avec une bouteille et un bol à mon intention. Bon ok peut être que du lait arriverait à passer en ayant la bouteille devant moi, je me rend compte que c'est pas du lait, mais autre chose et devine aisément ce que c'est. Je lève la tête pour le regarder. Il n'a pas osé quand même. Je baisse la tête honteux pour ça. Je ne le blâme pas, c'est ma faute s'il a fait ça. Je suis un monstre.

-Excuse moi Shun. Je voulais pas t'obliger à arriver à ça. Tu n'étais contraint de faire ça pour moi, j'aurai trouver un moyen de le faire.

Il n'osait pas se jeter sur la bouteille pour boire ce qu'elle contenait comme s'il était un alcoolo en manque.

Je parviens difficilement à lui avouer que je ne ppouvais me résoudre à le laisser mourrire de faim de la sorte. Ce n'était pas mon habitude. Mais il devrai se faire à l'idée que ça ne sera pas une habitude. Et cette fois pourrai être là dernière. soudain je m'éfondre en larme lui expliquand que je ne pourrai plus lui fournir ce liquide. Que j'avais l'impression de tromper Hyoga. J'espère qu'il me comprendra et ne m'en voudra pas. Je ne cesse de pleurer car je pense au comment il fera pour survivre par la suite. Je le regarde, le visage envahi de larme, lui disant être un monstre avec mes paroles. Je me hais. Comment est-ce possible que je refuse d'âider quelqu'un qui je sais risque de mourir par ma faute. Je me redresse et cours au toilette vomir. Je recrache toute mon antipathie pour moi même. Mon dégout de ne pouvoir, non vouloir aider quelqu'un. J'ai honte, honte d'être vu ainsi; Je ferme la porte des toilette sans la verouiller pleurant à chaude larme. Me vidant de mon corps. Par ma faute un frère d'arme va mourir à cause de mon refus de l'aider.

Il le vit partir d'un coup après lui avoir dis que ça serait la dernière fois qu'il ferai cela. Qu'il avait l'impression de tromper son copain. Il ne pouvait le blâmer pour ça. Il le rejoignit au toilette.

-Shun.... tu sais c'est beaucoup ce que tu as fait. Je t'en demandais pas tant. Je te demanderai jamais plus ce que tu viens de faire par ta propre volonté. Il faudra qu'un jour je puisse manger normalement, mais je t'en veux pas. Tu n'es pas un monstre, c'est moi qui le suis en t'obligeant à te rendre malade comme ça.

Il retourna au salon pour prendre la bouteille et alla s'enfermer dans sa chambre pour ne pas être vu.

J'ai besoin de quelques temps avan de me ressaisir. Je suis pitoyable dans cet état. Je me redresse essayant mes larmes séchées de mes yeux. Je ferme les yeux un instant réfléchissant à tout cela. Je tire a chasse d'eau des toilette et sors pour me rincer la bouche. Dans la salle d'eau je suis là debout comme un idiot la tête basse ayant l'air d'un idiot. Hadès me verrai, il serai dégouter de voir son enveloppe charnelle se comporter de la sorte. Pourquoi je pense a lui d'un cou. Je secou la tête de droite à gauche me passant la main dans les cheveux. Puis je décide enfin d'aller me prendre une douche histoire d eme remettre les idées en places. Je laisse couler l'eau longuement sur mon crops n. Je profite de ce moment offert à moi pour ne penser à rien d'autre qu'au bien fait que la douche me procure. Je garde toujours ce même air triste, je ne peux m'empécher de repenser à l'égoîste que je suis de penser d'abord a mon ange à la survi d'un frère d'arme. Je fais dire à un domestique que je suis à la piscine si Aioros me cherche. Mais je doute qu'il viendra voir le monstre que je suis. Je nage pour oublier le malheur que va subir une personne par ma faute. Je nage , mais je pleur en même temps. Je nage encore plus fort sans me rendre conte que je me cogne contre la piscine m'asommant a moitier et maintenant je gis au fond. Je suis sur le point de m'éteindre si je ne me reveil pas. tout ca pour une histoire absurde de vouloir sauver quelqu'un à tout prix.

Je bois entièrement la bouteille mais je me sens pas mieux pour autant, parce que je sais que Shun se sens mal à cause de moi. Je retourne sur le balcon où j'ai vu sur la piscine. J'ai entendu la douche couler, il en avait surement besoin, il devait avoir besoin de se laver de ce que je lui ai fait subir. Plus tard je le vois nager dans la piscine, il est vraiment très beau. Mais il n'est pas pour moi, je n'aurai jamais du lui dire mon secret, je l'ai salie lui qui semble si pure.

Je le regarde jusqu'à ce que je le vois se cogner et couler, sans réfléchir je saute du second étage, c'est pas ça qui va me faire peur ou que je vais me casser quelque chose même si je suis encore faible. Je plonge dans l'eau pour le remonter à la surface et reviens avec lui sur le bord de la piscine pour l'en sort.

-Shun ça va?

Il me sort de l'eau juste à temps, même pas besoin de faire du bouche à bouche pour que je recrache l'eau de mes poumons. Je pose ma tete contre lui ne cessant de murmurer continuellement un "je suis désolé". Je ne me rend pas compte que je m'endors contre lui épuisé par mes larmes et après lui avoir dis merci. Il n'y pense pas mais en cet instant il ne me repousse pas au fait que je sois collé à lui. C'est la deuxièeme fois déjà. Je ne sais pas si lui même a deja fait attention

Airos sais faire attention quand il veut, je ne m'en appercevrai qu'à mon reveil. Les heures passes, pas beaucoup juste deux. Je commence a bouger dans mon lit, signe que je me reveil enfin. J'ouvre les yeux portant mon bras sur mes yeux. quand je les ouvres enfins je remarques où je suis. Pas à la piscine en tout cas. Qui ma transsporté là? Je me souviens juste que je me noyais. Lorsque je me redresse, je sens sous les couverture que je suis nu. Je rougis violement. Qui a bien pus me changer. c'est la question que je me pose. J'attrape un fin peignoire et me l'enfile sur les épaules. Je mtente de me lever mais la tête me tourne encore un peu alors je me ralong et grogne légèrement.

Aioros était resté dans la chambre mais il était allé sur le balcon, il avait séché avec le soleil, n'ayant pas sentir le froid et l'humidité de ses vêtements. Quand il entendit Shun grogner en se réveillant, il alla le voir.

-Shun ça va mieux?

Il s'agenouilla devant lui.

Je rougis devant lui. je fais un signe possitif de la tete. Grâce à lui je vais bien et l'en remercie. Je me doute que je luiu cause bien du tracas avec mon attitude puérile. Je garde la tête basse me mordant la levre inferieur puis je me lance enfi.

" Je suis désolé pour tanto, je ne savais pas quoi te faire manger alors je."

Je marque une pause.

" JE suis désolé, tu va penser que je suis un monstre de t'avoir proposer cela."

Je ne dis plus rien. J'ai sipement la tete basses. Ma rancoeur pour moi même faisant de nouveau surface.

-Ne le sois pas c'est moi qui suis désolé. C'est ma faute si tu as voulu faire ça, j'aurai pas du t'en parler. Je t'en veux pas, de nous deux c'est moi le monstre pas toi.

Il se redressa, ses cheveux étaient encore un peu mouillé ainsi que ses vêtements.

-Je vais te laisser te reposer maintenant.

Commence à sortir de la chambre.

"Attend? Si tu ma déposé ici, comment as-tu fais pour surmonter ta crainte du toucher? "

Non il ,est pas un monstre, il tente juste de survivre tout simplement et je le comprend. C'est pourquoi je ne le juge pas. Je pose ma main sur son bras et le reercie encore. J4ai besoin de me reposer encore. JE m'endor. Je dis en rêve tous ce que je pense d'Aioros. Il peut ainsi voir que je ne le blame pas et tente de comprendre ce qu'il lui arrive. Aucune méchancet ou de propos de dégout n'est signalée. Juste de la comprehension et une forte envie de l'aider.

-Je ne sais pas je n'y ai pas réfléchis sur le coup, il était plus important de te sauver.

Il se mit à trembler quand Shun posa sa main sur lui. Quand il le vit s'endormir il entendit les paroles du bronzes. Une fois fait il remonta dans sa chambre et alla sur le balcon, il aimait rester dehors imaginant la chaleur du soleil sur lui alors qu'il a froid.

*je ne me reveil qu'a lendemain mais je ne sors pas de ma chambre. Je fais trop peur avec la tête du reveil que j'ai. Il est 10 heures passée et je sors enfin pour rejoindre la piscine. Je me perds dans la contemplation de l'eau et je repense à aioros et ce qu'il c'est passé la veille de la ou il est il peut parfaitement m'entendre. JE commence a fredonner un petit air mélcanlolique puis plus joyeux. En général je ne chante que quand je suis seul. et a ce moment c'est ce que je crois*

Aioros s'endormit sur le balcon et fut réveillé par un doux chant. Il se releva ayant une sale tête et frissonnait sans s'en rendre compte, il se pencha pour voir qui fredonnait mais il tomba et se retrouva dans la piscine, mais il était trop faible pour remonter à la surface, ayant attraper une grippe à dormir dehors toute la nuit sur le balcon et encore mouillé.

*Shun sursauta au plouf de la piscine il ordonna a ses chaines d'aller le recpereR. Aioros étant trop faible il du lui faire un massage cardiaque pour lui faire recracher l'eau des poumons a son tours. Il ordonna a ses chaines de le transporter dans sa chambre et dans les daps. Il lui ordonna de le devetir tout en aynt le dos tournéune fois aioros dans son lit il souri et restea là assis sur une chaise a veiller sur son sommeil

Aioros était bouillant ayant de la fièvre, il gémit dans son sommeil et bougea comme cherchant une présence à ses côtés, puis il se mit à se battre avec les draps comme cherchant cette fois à fuir quelque chose ou quelqu'un.

-No.... Non a...arrêter..je... j'en peux.... plus.... laisser moi tranquille.

*j ne sais pas qoi faire, je m'approche de lui et le prend dans mes bras lui boquant tout mouvement tentant de le calmer a ma façon. Je le berce et chantonne de nouveau ma melodie de tantôt avant qu'il ne tombe. JE lui enlève les couvertures pour qu'il n'ai rien de chaud sur lui. Je suis perdu je n'arrive pas a le calmer comment faire.

Aioros faisait un cauchemar, se croyant à nouveau en enfer, il se débattit un moment pensant être prit à nouveau par des spectres puis finit par se calmer en sentant un réconfort et se colla plus à Shun, comme pour être protéger de ce qu'il vivait.

-Maman....

je rougis e entendant ses moit. JE continuais de le bercer. de toute façon dès que je bougeais il resserait sur moi son etreinte. Pui voyat qu'il se calme enfin je fini par lui répondre.

" Oui mon tout petit, calme toi mamant est là"

Je chante a nouveau cet air qui semble le calmer et je m'en veux de me faire passer por ceque je ne suis pas.Mais tous les moyens sont bon pour tenter de le calmer un peu

Aioros se réveilla bien plus tard, tremblant encore à cause de la fièvre, il avait les yeux embués par la maladie.

-Ma.... maman...je... j'ai faim....et... et soif...

Il avait pas reconnu Shun étant encore trop dans les vapes pour le faire. Il se colla à lui pour avoir plus de chaleur.

Shut je suis la mon bébé.

*j'appel un domestique pour qu'il m'apporte un peu de lait, nurriture qui ressemble fortement a ce qu'il peu manger et je lui fait boie doucement a son rythme ayan prevu une bassine au cas ou il recracherais le tout.

" je suis là calme toi mon tout petit mange et tu ira mieux"

j'en profite aussi pour l'habituer a une nouriture saine. Je sais que la fievre le fait délirer mais bon.

Il but lentement le lait et une fois le breuvage avalé, il posa sa tête sur le torse du bronze.

-J'ai froid maman... j'ai si froid, réchauffe moi maman.

Il mêla ses jambes à celle de Shun, et s'agrippa à lui, chercher à prendre sa chaleur pour se réchauffer.