Petit poney en mal d'amour [Warning]

"je me moque que tu n'es pas faim. Si tu ne te nourris pas tu va mourir."

Dis-je les yeux qui commencent par être envhai par les larmes. Je ne peux supporter de voir cela. Il se laisse mourrire quel idiot. Je fronce les sourccil et me rue sur lui. Je le chevauche et lui maintien les mains le force. Je me mets le morceau de pain dans la bouche le machant et embrasse aioros pour le forcer a manger ce que je lui transmets par vie bucal. Une fois que je suis sur qu'il a avaler le petit morceau je recommance jusqu'à moitier du pain. Il va me haïr je le sais. Mais on ne me reprochera pas de laisser mourrir de faim un ami.

Il fut surpris de l'attaque et n'osa plus bouger, il ne se débattit pas quand il le força à manger en l'embrassant, il était complètement tétanisé par la peur et tremblait presque comme un dément, mais il ne repoussait pas le bronze, avec tout ce qu'il avait subit, il avait appris à ne pas bouger le temps qu'on le touchait et le forçait. Il avala le pain plus par habitude d'avaler d'autre chose qu'on lui imposait. Mais une fois le pain entièrement prit, et que Shun se retirait de sur lui, il se mit sur le côté et se mit à tout vomir aussitôt.

Je fut destabilisé par ce que je voyais. Je me mis a reculer. Qu'ais-je fais. Mes yeux pleur moi ne sachant plus quoi faire, je me mis à trembler. La peur envahissait mon être. La peur d'avoir fait du mal encore plus qu'il ne l'étaot. Je recule encore tout tramblant la main devant la bouche. Je pleur encore et encore me traitan de monstre. Je ne peut pas voir ce que j'ai fais alors je m'enfuis. Je m'enfuis mais pas très loin le coeur retorné par la vision que j'ai eu. Je m'agenouille devant l'eau qui est face à moi et je vomi a mon tour.

Je regarde mon refletsur la surface de l'eau et voit celui d'hadès a la palce du mien. J'entends des vois me dire que je suis un monstre de laisser unfrère d'arme ainsi que je suis un monstre d'avoir gi de la sorte que c'est par ma faute qu'il est ainsi. Mes cheveux deviennent encore un peu plus rouge laissant appercevoir un dégraerde vert et rouge. Je frappe l'eau pour effacer ce reflet d'Hades.

" Noooon, je ne suis pas comme vous"

"Je ne suis pas un monstre."

Une fois tout le pain vomi, il se leva difficilement et alla chercher Shun qu'il avait vu partir. Il l'entendit parler et clignoté aussi.

-Euh....Shun...pour.... pourquoi tes..... cheveux change de couleur?

Il ne lui en voulait pas de l'avoir forcer à vouloir manger.

*je fus surpris de le voir revenir vers moi. Pourquoi revient-il vers le monstre que je suis. Je me recule après m'être lavé la bouche et m'adosse contre un tout petit rocher assez grand pour que mon dos s'y repose. Je releve la tête en le voyant vers moi.

"Surement parceque je redeviens petit à petit Hadès."
" Ca se passait comme cela la première fois."
"Quand Hadès prenait possession de mon corps mes cheveux changeaient de couleurs à devenir noir sombre."

Je baisse la tête honteux d'avouer que je me laisser petit a peiti posseder de nouveau. Cela ne se produisait que lorsque je me sentait faible ou incapable.

Il l'écouta et l'entendre dire qu'il pouvait redevenir Hadès lui donna des frissons dans tout le corps.

-Shun... tu es... plus fort que lui... tu peux lui résister.

Il s'approcha un peu plus de lui.

-Tu n'y es pour rien dans ce qui m'est arrivé. Mais après avoir gouter à la nourriture des enfers, on ne peut rien manger d'autre.

je le regarde en soupirant. Toujours avec un regard triste mélangé à de l'incompréhension. Je lui f&ait signe de s'asseoir près de moi pour mieux lui expliquer ce qu'il m'arrive.

" En fait, ce changement de couleur sur mes cheveux se produit quand je me sens faible et incapable de protéger quelqu'un."

Voila il le sait maintenant. Je suis enchanté qu'il prenne du temps pour m'expliquer ce qu'il se passe avec lui et ce qu'il a vcut au enfer. Je le comprend parfaitement vu que j'y est sejourné un temps mais pas dans les plus misérables des endroits. Donc je ne peux vraiment pas savoir exactement ce que cela fait. Mais je le comprend totalement.

-Je vois.

Il s'assit à ses côtés. En réalité il n'avait rien manger en enfer, mais il ne pouvait pas avouer ce qu'il avait vécu, ni lui dire qu'il pouvait manger de son vivant, mais la nourriture qu'il lui pouvait garder dans son estomac ne se trouvait pas comme ça, où plutôt c'était trop humiliant pour se la procurer.

un silence s'intsalla entre eux un long moment. Je ne lui en voulais pas au contraire qui serait fou pour avouer ce qu'il c'était passé pour les mettre dans cet état. Je ferme les yeux ma main se posant sur celle du sagitaire mais la retirant aussitôt me rappelant qu'il n'aimait pas être touché. C'est bizarre contraiement à lui, moi j' aime le raprochant et le fait de prendre quelqu'un dans mes bras. je le regarde*

"Merci de rester là avec moi."

-Tu n'as pas à me remercier. C'est moi qui le fait de supporter le boulet que je suis.

Il avait frissonné en sentant sa main sur la sienne, mais il commençait à s'y habituer. Son ventre grogna à nouveau et il se tient les côtes ayant mal au ventre à force de ne rien mangé. Il n'osait pas demander la seule chose qui pouvait le nourrir. Il haïssait les spectres de l'avoir rendu dépendant à cela.

je le regarde, je ne peux me permettre de le laisser ainsi. Que dois-je faire pour qu'il se retablisse au mois un peu. Je passe ma main sur sa joue et le caresse que peu de temps..


" Dis-moi ce que je pourrai faire."

" Que puis-je faire pour t'aider."

-Ça dépend de l'aide que tu veux m'offrir. J'ai passé trop de temps en enfer pour arriver vraiment à m'en remettre totalement. Je subit un froid glaciale qui ferait frissonner Camus, je ne peux me nourrir sans vomir ou alors c'est trop humiliant pour que j'ose manger, et enfin j'ai du mal à supporter le contact humain, je me tétanise. S'il y a une nouvelle guerre je deviendrais un boulet. Je sais que je devrais me ressaisir, mais s'il est marqué en enfer que l'espoir n'est pas de mise, il y a une raison. Les spectres savent très bien comment faire perdre l'espoir.

Il baissa la tête sous ces paroles.

- " Diss le moi s'il te plais."
- " Je ne peux me ressourdre a te laisser ainsi. Je veux vraiment Tenter tout ce qui m' est possible pour t'aider. Je refuse de laisser un frère d'arme soufrir innutilement. La vie est trop précieuse pour être gachée."

Je suis têtu, il est entrain de l'aprendre à ses dépends. Je veux être sur que j'ai absoluement tout fait pour l'aider. Savoir un jour que j'aurai pu faire tel ou tel chose pour alors que je n'e savais rien, je m'en voudrai énormement et ma concience ne sera pas tranquil. J'ai déjà pris trop de vies. On aura beau dire lors de ces conbats j'ai été un ssasin, j'ai tuer pour défendre ma cause qui était juste certe. Mais j'ai pris des vie. Je suis déjà assez rongé par cela pour savoir qu'une vie à été perdu par ma faute. Je veux qu'il sache que je suis là s'il à besoin d'aide. Je veux qu'il ssache qu'il peux compter sur moi et se confierà moi. j'e ferai la même chose de mon côté. Je ne veux pas qu'il se détruise. Il n'en a aps le droit. Athena nous a offer une autre vie, il faut en profiter.

Cela m'attriste de le voir ainsi, j'enrage de ne pouvoir faire plus pour lui. Je le sais je rumine mentalement toujours les même choses. Je suis frustré je n'y peux rien.

Il l'entendit lui demander pourquoi il ne lui disait pas, il voulait connaître le traumatisme qui le troublait, l'aider un peu plus.

-Je... c'est assez dur à dire. Je ne pense pas que ça soit le genre de chose qui se partage.

Il vit que Andromède voulait vraiment savoir ce qu'il avait. Il baissa la tête pour ne pas voir sa réaction de dégout quand il le saura.

-Depuis ma mort, j'ai été abusé sexuellement. Les spectres m'ont violé durant tout le long de mon séjour là bas. Et la nourriture qu'ils me faisaient avaler de force, venait de leur propre corps si tu vois ce que je veux dire. Ils m'ont forcé à avaler alors qu'ils violaient ma bouche.

Il avait la tête tournée vers le sol, il ne voulait pas voir le regard que Shun lui donnerait.

Contrairement à ce qu'il peux penser je ne suis pas dégouter, juste surpris. Comment ont-il pu lui faire ça. C'est ignoble de leur part. Comment est-ce possible de rendre quelqu'un aussi dépendant que ça. Surtout pour cette nourriture des plus étranges. Il devrai étre dégouté de ne pouvoir avaler que cela avec ce qu'il c'est passé. Je ne le juge et n'emets aucun commentaire.De toute façon je n'ai pas le droit de le juger alors que je ne connais pas ce qu'il a vécu. Personnelement je ne souhaiterai que personne vive cet enfer. Je lui souri et passe ma main sur sa joue pour lui relever le visage.

" Tu n'as pas à avoir honte."
"Certes je ne peux savoir la douleurqui te ronge mais je te comprends."

Je fais approcher sa tête vers moi pour l'embrasser sur le front. Puis je me détache de nouveau de lui sachant qu'il ne supporte pas le contacte alors que moi je suis très tactil. Il verra dans mon regard que rien à changer et que je ne suis pas horrifié par ce que j'ai appris à son sujet. Au contraire cela me donne de le réconforter encore plus. Mais malheureusement ça je ne pourrais lui donner. Il faudra que je soit amoureux de la personne pour lui offrir cela? Je ne sais comment le lui dire. Je suis troublé. Je pourrais très bien lui en procurer lorsque je me satisfais en solitaire mais je ne ferai que approuver les actes des spectres. Je préfère le lui dire honnete et qu'il sache le fond de ma pensée. Je ne veux pas qu'il pense que je le juge. Bien au contraire.

Il fut surpris des paroles du bronze et du baiser qu'il lui donna sur le front.

- Si j'ai honte, honte de ne pouvoir me nourrir car malgré ce que je dis, je meurs de faim. Je pourrais manger un festin à moi tout seul, mais dès que je vois de la nourriture, ça me donne envie de vomir, tu vois même le maigre bout de pain que tu m'as donné je n'ai pas pu le garder dans mon estomac. Pourquoi revivre si au final ma vie reste un enfer, je ne peux pas manger, je peux pas sentir la chaleur d'un soleil d'été, et je ne peux même pas prendre une personne dans mes bras sans me sentir agressé. Je suis un boulet qui va devenir faible à force de ne pouvoir se nourrir. Ou alors il faudrait que j'aille en ville et que je fasse la pute, mais je ne peux m'y résoudre, je veux pas revoir le regard de dégout comme j'ai vu celui de Kanon quand j'ai tenté de le chauffé pour enfin avoir un peu de nourriture sans qu'il le sache. Je suis un monstre.

Pour la première fois depuis son retour il craqua en pleure.

Je suis déstabilisé par ce que j’entends. J’ai mal pour lui. Il me fait de la peine. Je n’ai pas de pitié pour lui. Juste une profonde peine. On ne croira pas mais je m’attache à lui. Je ne vais pas dire que j’en suis amoureux, mais j’ai une profonde estime pour lui. Cela m’agace fortement de ne pouvoir l’aider. Je me sens démuni. Pour une fois je suis réellement faible devant quelqu’un qui se trouve en détresse. J’ai envie de le prendre dans mes bras, mais je ne peux pas, je ne veux pas le terroriser d’avantage. J’attrape une mèche de ses cheveux jouant avec la tortillant entre mes doits. Je le regarde toujours aussi tendrement sans la trace de dégout qui aurait pu se lire sur mon visage. Je suis simplement choqué par sa révélation. Comment un chevalier d’or peut –il se montrer aussi méprisant avec l’un des leurs.

- « Kanon est un idiot, il n’avait aucunement le droit de te juger. C’est indigne de lui. »

Ma voix à un tempo de tristesse et de compassion que Aioros peux sentir lorsque je lui réponds. Je me refuse de le laisser seul alors je lui propose de venir vivre avec moi. Ma demeure est assez grande pour l’accueillir. Il pourra ainsi se détendre, voir d’autre personne s’il le souhaite mais surtout réapprendre à vivre.

-« Je ne peux qu’imaginer ce que tu ressens, mais sache que je ne suis pas là pour te juger. »

- « Sache que lorsqu’ vous aviez vaincu Hadès, on me regardait avec dédain et mépris lorsque l’on me voyait. Ça été dur mais j’ai appris à ignorer cette méprise. J’ai pu ainsi recommencer a vivre normalement, mais mes débuts étaient très dur. Donc je te comprend plus que tu ne peux le croire»

« C’est pourquoi je ne pourrais jamais te juger. »

Il continua de pleurer un peu puis il sentit Shun prendre une mèche de ses cheveux pour jouer avec. Bien sur il aurait aimé être dans ses bras mais ils savaient tout deux qu'ils le repousseraient, même s'il en avait envie et surtout besoin.

-Non il a raison, je suis un boulet. Il me dit de me ressaisir mais les spectres m'ont pris tout ce qui faisait de moi un homme. Et si je ne suis plus un homme je suis encore moins un chevalier. Je me souviens à peine de ce que c'est qu'une étreinte amicale sans qu'elle soit guidé par l'envie qu'on me possède. Si j'avais chaud avec Kanon dans ses bras, c'est surement parce qu'il ne désirait que mon corps rien d'autre.

Il savait qu'il s'apitoyait sur lui même mais il était encore trop traumatisé de ce qu'il avait subit.

-Je vais t'ennuyer chez toi, je veux pas déranger tu sais.

En lui proposant de vivre chez moi, je lui offre l'ocasion de pouvoir réaprendre à vivre. Il doit absoluement retrouver une chose essensiel pour ne pas être seul, la sociabilité. Sinon je ne donne pas cher de sa peau. Le malheureux va broyer continuellement du noir et finira par se détruir petit à petit. Chez moi il sera indépendant. De plus c'est assez grand est spacieux. Il y a une piscine et tout le conford que l'on peu rêver. Ideal quand le tout est payé par la fondation Kidô.

Je me demande ce que je pourrai faire d'autre pour lui. Je sais ce que je dois faire mais je me refuse de lui donner ce genre de nourriture, c'est comme si l'on me demandait de tromper Hyoga alors que je ne le veux pas. Certe cela na rien a voir puisque je fais partager ma semance mais quand même. et puis ca me bloquerai de savoir que c'est pour lui. Pas que je le deteste, pas qu il me degoute mais c'est compliqué. De toute façon, il sait qu'avec moi, il ne sera pas jugé. Je le regarde souriant tendrement.

" Ne t'en fais pas, c'est assez grand pour ne pas qu'on se marche dessus."
" Je vis au premier étage tu na qu'à t'installer au second ^^"

Et oui notre déesse vois très large , et très grand pour nous, ses chevalier.Tout le monde à une demeure aussi grande que la mienne. Je lui avait porutant dit de ne pas construir si grand, mais non elle n'en fait qu'à sa tête. et pourtant malgrès sa grandeur je l'adore cette maison.

"Arrete de trouver des excuses qui ne tiennent pas la route. Si je te le propose, c'est que tu ne me dérangera pas, tu n'e pas un boulet non plus.

" Si tu oses dire le contraire, je t'attache et te bailonne".

Dis-je en souriant. Je ne veux pas qu'il se retienne avec moi. Il doit rester naturel, patient, et doit avoir une volonté d efer. Là il arrivera à ce qu'il désir, même s'il faut du temps. et c'est ce que je m'éfforce d'expliquer. L'avantage, le temps efface tous les mots. Cela peu être plus ou moins long selon les cas.

-Bon ok, je viendrais chez toi. Merci beaucoup mais si je gêne je peux rentrer à mon temple tu sais.

Il regarda le bronze sourire le genre de sourire qu'il avait du temps de sa première vie. Il se demandait s'il serait capable de vivre à nouveau avec autant de joie, ça il en doutait. Il se tenait le ventre, tellement il avait mal et faim. Mais bon il ne pouvait manger même s'il en avait tellement envie.

-Tant que je serai ainsi, je serai un boulet, je suis sur que tu serais capable de me battre sans problème là.

Il savait qu'il devait pas se dénaturer mais il devait être réaliste, il n'était pas en état de pouvoir protéger son temple et encore moins sa déesse.

Exeptionnellement je pourrais faire une entorse a mes pricipe pour le sauver. En fait je ne suis pas vraiment avec Hyoga officielement donc il m'est possible pour le moment d'accéder à sa requette. Puis Hyoga serait heureux de savoir que je pense a lui et gémi son prenom quand je me satisfait tout seul. Je suis perdu là. En même temps, je ne trompe pas Hyoga vu qu'aioros ne me touche pas. je ne le trompe pas non plus puisque je me cache pour me satisfaire seuld ans mon coin et gemi son prenom. Même si ma semence sert ensuite pour permettre à une personne de vivre. Ha je suis perdu et j'ai honte aussi. mais cela personne ne le saura puisque seul lui et moi connaissons son secret. Je veux bien l'aider cette fois là exeptionnelement. Même aioros ne saura pas quand je l'ai fais, je trouverai une excuse. J'espère juse qu'il ne sera pas dégouter que je le nourrisse de la sorte. Je veux qu'il sache qu'avec moi il n y a rien de honteux s'il est question de survie.

Ca y est je sais comment je vais procéder. Lorsqu'on arrive chez moi, je m'absente une bonne heure histoire defaire comme si j'alais donner divers ordre aux employés. Enf ait , je me dirige dans la salle d'eau une bouteille en main rougissant et commence a me donner du plaisir en pensant à Hyoga dans diversposition et en tenues d'Adam. Je gemi son prenom et enfin ça viens, je me libère en couinnant aussi silencieusement que je peux son prénom. Je redescent tout propre et lévé. Je me me suis même mis une eau de toilette qui me fais penser que je cache ma gène. Une bouteille au liquide blanc et en main que je mets tout de suite au frigo une fois en cuisine. Je reviens vers Aioros lui faisant ensuite visiter la maison, m'excusant de l'attente. J'avais du donner quelques ordre pour son arrivé et pour qu'il se sente bien. Ensuite je l'invite a manger avec moi. Sans comprendre pourquoi je pique un far et détourne la tête ausitôt. Je ne veux pas qu'il se doute de queslque chose, il va me prendre pour un pervers sans nom. Et je me refuse cette idée.

Je n'y peux rien moi si je ne supporte pas l'idée qu'une personne a besoin de mon aide et que je peux l'aider même de la sorte, je le ferai. Mais si ma relation avec Hyoga devient plus intense, il devra comprendre pourquoi je refuse de continuer.