Nom : DeathMask
Age : 23 étés (vu qu’il est né en été)
Pays d'origine : Italie !
Histoire du Perso : DeathMask vécu son entrainement de Chevalier en Sicile (Italie) là où il apprit à être un guerrier puissant et sans remords. Ou peut-être que ce trait de caractère était bel et bien le sien, n’étant que le fruit de ses réflexions personnelles qui l’auraient menées à devenir aussi cruel et méprisant qu’on ne le connait. Là-bas, en Italie, il eut un rude apprentissage de l’art de l’assassinat, ce qui, finalement, lui permit d’accéder au titre d’Assassin attitré du Grand Pope.
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DeathMask (14 ans, en entraînement)
Encore une autre journée à suer à n’en plus finir, à m’écraser au sol, à aspirer de la poussière par les deux narines, à me faire ridiculiser par mon maitre, à perdre toute ma confiance en moi et à douter de ma puissance. Vais-je devenir Chevalier ? À ce rythme j’ai l’impression que non. Merde ! Une botte. Je lève la tête jusqu’à apercevoir le visage de mon maitre. « Encore à terre, pauvre élève faible qui est le mien ? » Cette arrogance ! Je le méprise pour cette arrogance qu’il a et cette façon de me parler comme si je ne représentais rien. Certes, c’est quelque peu déstabilisant au début, mais à la longue s’en deviens haïssable et méprisable. « Debout vermine ! Faut qu’on cause, toi et moi ! » Je me lève donc à sa demande et le suis d’un pas trainant en ravalant mes plaintes de douleur. Nous nous rendons sur le bord et il me dit de me mettre en position push-up au sol, ce que je fais avec autant d’envie que d’aller à l’abattoir. Mon maitre me regarde avant de sourire. Il s’avance vers moi et s’installe en tailleur sur mon dos. « Fais tes push-up pendant que je parle. Bon, j’ai récemment reçu une lettre du Grand Pope. On va accélérer ton entrainement et l’intensifier, car le Pope attend quelque chose de toi.
-Quoi? Ne pus-je m’empêcher de demander.
-Je t’ai donné la parole ? Non, alors tu la boucles. Il faut que je fasse de toi un Assassin pour le Sanctuaire. »
La nouvelle me traumatise tellement que je m’écrase comme un crêpe au sol. Mon maitre me tombe donc évidement dessus. Quoi ? Mais je n’ai pas envie de devenir Assassin. Je n’ai jamais accepté ça, moi. Désolé, mais ce n’est pas vraiment dans mes principes de tuer. « Maitre, je refuse. Je… » Il me coupe la parole sèchement en me giflant en plein visage. J’y suis habitué alors elle n’a eu presqu’aucun effet sur moi, comparativement aux paroles qui lui suivirent. « Est-ce que je t’ai donné le choix ? Écoute-moi bien, petite tête de linotte, tu n’as aucun contrôle sur ta vie ou sur ton destin. Tout ce que tu es c’est une machine pour protéger Athéna et tuer ; personne ne t’a demandé ton avis ou même de réfléchir. » Sur ce, il quitte l’endroit, m’y laissant seul avec mes pensées. Qu’est-ce que je devrais faire ? Je ne veux pas tuer, non, je ne m’y résoudrai jamais…
(Quelques jours plus tard)
Je sens que mon entrainement d’Assassin débute aujourd’hui. Je suis dans l’air d’entrainement depuis une dizaine de minutes et j’attends mon maitre qui devrait arriver d’un instant à l’autre. Il m’a fait lever à 4h du matin pour mon entrainement. No wonder que je sois fatigué dans ce cas-là. Le voila qui arrive avec un sac dans les bras. Il le laisse tomber et me sourit triomphalement. « Regarde ce que j’ai trouvé. » Il ouvre le sac et un corps en tombe. Un corps humain. « Bon, je t’offre ce poignard et tout ce que tu as à faire c’est le lui enfoncer dans le corps. Simple, non ? Même un imbécile comme toi devrait être capable de comprendre la consigne. » Il me tend l’arme et je l’agrippe, la main tremblante. Il lève le corps par les épaules et le tient face à moi, la tête du cadavre pendant sur la gauche. Ça me dégoûte. « Il est mort, hen ?
-Tu crois qu’il resterait aussi immobile s’il était vivant ? »
La réponse me suffit et l’idée de poignarder un mort me rassure davantage que celle d’ôter la vie à un humain vivant. J’avance donc la lame vers le torse de l’homme. Ses yeux s’ouvrent soudainement et un cri sort de sa bouche au moment ou le poignard s’enfonce dans son ventre. Le sang me gicle dessus et mes yeux s’écarquillent alors qu’un sourire étire les lèvres de mon maitre. Je lâche l’arme et, c’est plus fort que moi, je vomis. Mon maitre laisse tomber le « maintenant cadavre » au sol et se penche vers moi. « Bien joué, ta première victime. »
(1 ans plus tard)
L’idée de tuer des gens m’est rendue banale. Je vais recevoir mon titre de Chevalier sous peu, mais avant il faut que j’aille celui d’Assassin. Mon maitre a donc, pour l’occasion, un dernier examen à me faire passer. « Imbécile.
-Hey, je vais être Chevalier. Il est temps que t’arrête de m’appeler de la sorte.
-Je ne compte pas utiliser ton vrai nom.
-Appelle-moi… DeathMask. »
Il sourit, mais ne me demande même pas la raison de ce choix. Mais il est fort simple. Ce qu’il ne sait pas, c’est que j’ai commencé quelque chose de fort macabre il y a quelque moi de ça. La vue des visages de personnes mortes me répugnait alors j’ai décidé que j’allais devoir m’y habituer, donc depuis je retire méticuleusement la peau facile de chacune de mes victimes pour en faire des masques de chaire humaine. Avant je me répugnais, mais maintenant c’est presqu’une fierté que je me fais. « Bon, DeathMask. Voici ta mission, ton examen en même temps, tu as deux jours pour tuer des gens. Je ne te dis pas combien il faut que tu en fasses pour passer l’examen. Tu dois aussi trouver un moyen de me prouver que tu as réussis. » C’est tout?
(Deux jours plus tard)
Me voici de retour à mon lieu d’entrainement. J’ai hâte de voir s face lorsqu’il va constater le nombre de meurtres que j’ai faits en si peu de temps. 45 meurtres, exactement ; hommes, femmes, enfants, vieillards. Rien ne m’a échappé. J’arrive donc devant lui et il m’observe d’un œil curieux. « Verdict ? » Pour seule réponse, je lui déballe le contenu de mon sac dans lequel se trouvaient les visages délicatement découpés par mes soins. Son visage blêmit alors qu’il recompte. « Il t’en fallait 10… DeathMask… T’es un monstre… finit-il par murmurer.
-Quoi?
-T’es un monstre. J’espère que tu sais que tu ne devrais pas prendre plaisir à tuer des gens. Tu dois simplement le faire pour Athéna, en suivant les ordres du Pope. »
Trop tard, maitre. Je remets les visage dans le sac et vais dans mes appartements privés dans la demeure. Je vais les ranger avec les autres pour être fin près à partir pour le Sanctuaire bientôt. Là-bas, je pourrai peut-être les accroché sur les murs, les exposer… Qui sait….
***
La guerre avec les Chevaliers de Bronze se déclencha, évidemment DeathMask se rangea aux côtés du Grand Pope dont il connaissait depuis longtemps la véritable identité. Bien sur, jamais il n’aurait trahi Saga car ce dernier incarnait les perspectives d’un monde qui convenait parfaitement à la personnalité meurtrière et sanglante du Chevalier du Cancer : la Force pour la Justice ! DeathMask se retrouva confronté au Chevalier Shiryu du Dragon qui revenait pour des représailles suite au combat précédemment déroulé aux cinq pics de Rozan où ils s’étaient affrontés et où DeathMask avait remporté presque haut la main la victoire. Ce nouveau combat, au Temple du Cancer, changea la Force de clan, car Shiryu réussit à terrassé l’Assassin qui se retrouva précipité dans le puits des âmes. DeathMask fut vaincu sur son propre territoire ! Quelle honte et quel déshonneur ce fut pour lui…
***
(Quelques jours avant la Guerre du Sanctuaire)
On va se faire attaquer. C’est du moins ce que Saga m’a dit. Assis sur le toit du Temple du Pope, je contemple les étoiles, tentant de comprendre comment Saga fait pour y voir quelque chose de plus que des constellations ou des formes dans buts, mais bien des signes sur l’avenir ou des conseils. Rien à faire, le ciel ne me parle pas à moi. Il me boude semblerait-il… J’entends des pas. Je reconnais Saga juste au son de ses bottes et sur la cadence de celles-ci. « Qu’est-ce que tu fais sur le toit ? me demande-t-il en s’installant à côté de moi.
-Je réfléchis. »
La réponse est simple, vague. Je ferme les yeux et me laisse tomber sur le dos. Les minutes passent. J’écoute la respiration de Saga et le tintement de ses ongles contre le marbre. « Le ciel me parle, lance-t-il soudainement.
-Ah ouais ? Et il te dit quoi ?
-Il va pleuvoir bientôt. »
En effet, à peine quelques secondes plus tard plusieurs gouttes lourdes se déversent sur moi. Franchement génial. T’aurais pas pu avertir avant ? Non, ça t’amuse peut-être ? Tant pis. C’est que de l’eau et je ne vais pas fondre à cause de ça, je ne suis pas fait en chocolat aux dernières nouvelles. Va falloir se battre bientôt. Les Chevaliers de Bronze viennent nous rendre une petite visite. Ils disent que c’est pour Athéna. C’est drôle tout de même. Je n’ai jamais protégé Athéna et je ne peux pas vraiment commencer maintenant puisqu’elle est morte en même temps que le Chevalier du Sagittaire, il y a plusieurs années déjà. Disons de plus qu’elle incarne la réalité qu’il ne plait pas vraiment, alors ça ne me donne pas franchement envie de la servir. « À quoi tu penses ? Ça m’intrigue. Tu m’interdis le droit à tes pensées.
-(Soupire) À la guerre qui s’en vient. Si je ne me bats pas pour Athéna alors pourquoi je me bats ? de toute façon, ce sont des Chevaliers de Bronze, il y a très peu de chance qu’il se rendent à mon temple. Il vont tous mourir dans celui d’Aldébaran ou dans le tien au maximum. Alors, je vais me tourner les pouces tout le long.
-Non, j’ai un mauvais pressentiment face à ce combat qui se prépare à l’horizon et le ciel semble en accord avec moi.
-Parce qu’il pleut ?
-Non, dans les étoiles… »
Je roule des yeux. Comme si on pouvait vraiment y lire quelque chose dans ça. Je suis certain qu’il invente au fur et à mesure. Au pire, j’ai déjà affronter une Chevalier de bronze il y a peu et j’ai vu leur puissance, alors je ne m’inquiète pas vraiment. Faudrait que je signale à Saga qu’il y a de fortes de chances que Mu nous fasse faux bon et qu’il se retourne contre nous, c’est le sentiment que j’ai en tout cas. Je ne m’inquiète pas trop pour Dokho, car il est aux 5 pics et cela pour un bon moment encore… mais tout de même. Faudrait que je lui en glisse un mot bientôt…..
***
Après sa mort, DeathMask prêta allégeance au Seigneur Hadès avec Aphrodite, Saga, Shura, Camus et Shion. Flanqué d’Aphrodite à ses côtés, DeathMask retrouva le Sanctuaire avec pour mission celle de couper la tête d’Athéna et la ramener à sa majesté Hadès. Toutefois, malgré son dédain de la Paix universelle et douce, DeathMask accepta de mentir à Hadès pour protéger Athéna, car après tout, lui avait-on dit : « Nous sommes toujours des Chevaliers de la déesse Athéna… même morts… » DeathMask affronta Mu, avec l’aide d’Aphrodite, mais une fois de plus ce fut la Mort qui vint le chercher. Il arriva en Enfer et sut qu’une troisième mort semblait se tramer à l’horizon : Rhadamanthe semblait d’humeur massacrante et détestait l’échec. Ce fut une troisième mort dont écopa DeathMask.
Ensuite, pour une quatrième, DeathMask se sacrifia avec le reste de la chevalerie d’or pour briser le mur des lamentations et permettre au Chevaliers de Bronze d’aller terrasser Hadès…
Et le voici de retour avec une cinquième vie, mais une qui se trouverait à être différentes des autres. Uno, il n’était plus l’Assassin attitré du Pope, puisque Saga n’était plus Grand Pope. Secundo, son Temple avait retrouvé des murs vierges et dépossédés des trophées lugubres qui les ornaient avant. Et tertio, il se retrouvait dans une impasse, car il ne savait plus ce qu’il allait faire de sa vie…
Description Physique : DeathMask, en bel Italien qu’il est, a une peau naturellement basanée. Ses cheveux, il les a tantôt violet, tantôt bleu et parfois gris, dépendamment de son humeur. Ses yeux sont d’un bleu foncé intense et sombre. On dit que les yeux sont les fenêtres de l’âme. Alors dans ce regard obscur, mais à la fois céruléen, n’y traduirait-on pas un esprit mauvais et dont le bleu représenterait toutes ces larmes qui ne couleront peut-être jamais ? Qui sait ? Outre ce regard à la fois si éloquent et mortuaire à ses heures, DeathMask a, pour communiquer sans que sa voix n’est à ce faire entendre, un corps musclé et viril dont il ne saurait se passer, préférant se faire comprendre avec ses poings lorsque la situation s’envenime plutôt qu’avec des paroles. Haut des ses 184 centimètres, il sait ne pas être dans les plus grands de la Chevalerie, mais cela ne l’empêche pas d’être craint, car dans son aura, il flotte toujours un mélange de découragement, de haine, de vengeance et de honte face à ses défaites qu’il ne fait qu’accumuler avec rage, lui qui déteste perdre…
************* J'espère que c'est correct. je me suis forcé sur l'histoire. XD *****************